emd9esclavedemaitredesburnes

    Çà y est, j'ai sorti mon slave en sex-shop comme prévu. Bon, à 11h30, dernier coup d'oeil sur le site d'annonces avant de partir : les 3 annonces publiées ce we avaient eu quelques visiteurs, 42 pour la dernière, 34 pour celle d'avant, et 35 pour la première. Aucune réponse ou demande d'info par contre. Pas d'optimisme forcené donc, mais pas de pessimisme non plus.    

La lope appréhendait un peu, mais elle m'attendait comme ordonné directement sur place, dans la cabine, à poil avec toutes ses affaires dans le sac que je lui ai aussitôt confisqué. Il y avait des allées et venues tout autour, çà se présentait plutôt bien. Le collier, la laisse, et hop : au sous-sol. Il y avait 3 ou 4 hommes affairés entre eux, malgré une présentation de la lope, aucun amateur, çà commençait mal.

Heureusement, un gars est arrivé à la rescousse. Il a bien tâté la marchandise de partout, mais sans plus, il préférait regarder la lope me sucer, ce qui est son droit le plus absolu, d'autant que pour moi, il faut bien le reconnaître, ce n'était pas du tout désagréable, bien au contraire. Puis un autre est venu discuter avec moi, je lui ai bien fait l'article, j'ai fait mettre EMD9 à genoux, cuisses bien écartées, de face, mains derrière la nuque, puis de dos pour mettre en valeur sa chute de reins. J'ai détaillé les qualités physiques de mon chien, recto, verso, ainsi que vanté son mental si soumis. Mais bon ...  

Est enfin arrivé un pote à moi, que j'avais contacté, un actif qui ne dédaigne pas à l'occasion faire un peu de dressage. Lui a bien tâté la marchandise aussi, en bon connaisseur. Il a mis EMD9 devant son entrejambe, et ce fut parti. Mon slave était affamé, il a fallu réfreiner ses ardeurs plusieurs fois. Après, changement de côté, en levrette pour une saillie. Là par contre je n'ai pas assez préparé mon salve, pas assez travaillé son petit cul poilu. Donc pénétration difficile. Quelques couinements de plaisir cependant, par moments (très agréable).

Toute peine mérite salaire : la lope ayant bien travaillé aux dires de mon pote (elle a bien ondulé autour de son sexe par moments), elle a mérité que je lui donne son plaisir par une petite branlette à mon rythme, elle les mains derrière le dos. Le slave est venu assez vite dans ma main libre, et a apprécié que je trempe mon index dans sa semence pour la lui faire déguster. Il s'est même enhardi à lécher tout le creux de ma main, quand je pense la tête qu'il faisait il y a quelques mois, la fois où je le lui avais fait déguster à la petite cuillère ... J'étais très fier de lui, il m'a vraiment fait plaisir dans cette circonstance, j'ai beaucoup apprécié de voir qu'il progressait (grâce à mon dressage ?...).  

Pour finir, mon pote et moi n'y tenions plus, nous avons joui sur le torse de la lope allongée sur le dos. Pas de douche là bas, il sentait bon le sperme chaud en rentrant chez lui ...

Désolé, mais pas de photo possible sur place (gros regret Jordan !) : trop sombre, flash pas possible. Aussi, je joins celle-ci qui est un peu ancienne, mais qui vous donnera une idée de la présentation que je fais d'EMD9-le-soumis :

    Cet hiver, en janvier, j'avais la lope sur le dos tout un après-midi par SMS. Du coup, j'ai décidé de lui faire faire les soldes : je l'ai expédiée chez ETAM s'acheter une petite culotte de fille. Grande nouveauté. Je lui ai ordonné de demander à la vendeuse quelle taille il lui fallait ("Un 40 devrait suffire pour vous Monsieur") et je l'ai laissée mijoter un peu parmi la clientèle féminine, le temps de me décider sur la couleur (sa première petite culotte, je n'allais pas lui imposer n'importe quoi). Finalement, ce sera un joli orange qui met sa carnation pâle en valeur. De retour chez elle, ma lope n'a pas pu résister à l'envie de la mettre (la culotte, bien sûr !) et de se refaire des essayages privés tout en m'envoyant les photos pour que je puisse juger du résultat. Hein qu'il est mimi tout plein mon EMD9, non ?!  

En tout cas, çà a bien dû lui plaire, parce que voici ce que j'ai reçu quelques semaines après sans lui avoir rien ordonné, alors qu'il s'achetait des fringues d'homme, depuis une cabine d'essayage :

Je finirai peut-être par en faire une lope correcte finalement ...